A.1 Principaux codes grammaticaux . 221 A.2 Quelques codes sémantiques . 221 A.3 Principaux codes flexionnels . 222 A.4 Liste des symboles et unités . 222 C.1 Description du module PatEx . 228 C.2 Exemple partiel de classe d'extraction . 234 C.3 Exemples de dépêches . 235.
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10. Corrégone Coreganus clupeaformis 11. Phoque annelé chair ; Phoca hispida 12. Chaboisseau 4 cornes Myoxocephalus quadricornis 13. Ogac Gadus Ogac 14. Béluga gras ; Delphinateus leucas 15. Phoque annelé gras ; Phoca hispida 16. Saumon Atlantique Salmo salar 17. Phoque annelé foie ; Phoca hispida 18. Huard collier Gravia immer.
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OBJECTIFS INTERMÉDIAIRES 8.1 Décrire les différentes techniques d'arrêt de grossesse effectuées selon le temps de grossesse écoulé.
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Avec l'entrée en vigueur d'une nouvelle directive UE, un contrôle de sécurité et une évaluation des risques doivent présent être rattrapés en Allemagne et en Suisse au cours des prochaines années pour tous les vieux produits chimiques qui étaient déj sur le marché avant 1981. Le fait que jusqu'en l'an 2020, rien que pour le testage des produits chimiques, jusqu' 10 millions d'animaux de laboratoire doivent être employés, est un scandale révoltant, et ce dans la mesure où même un si grand nombre d'expériences supplémentaires sur les animaux ne sera pas en mesure de remplir les exigences d'une protection de l'environnement et des consommateurs améliorée. Etant donné que sur la base des résultats des expériences sur les animaux il n'est pas possible de tirer des prédictions quant au fait qu'une substance va ou non être dangereuse pour l'homme et l'environnement, des millions d'animaux de laboratoire seraient ainsi livrés une mort atroce, sans qu'une contributon efficace la protection des consommateurs ou de l'environnement puisse être garantie. En ce qui concerne les valeurs seuils, il n'existe pas de tolérabilité pour les petits groupes de toxines. Chaque molécule d'une toxine quelconque accomplit, lorsqu'elle parvient dans la circulation interne du corps, son effet destructeur, qui est alors irréversible, c. d. qu'elle ne peut plus être annulée. Ce n'est pas le risque d'une intoxication aiguë par dépassement de la dose de tolérance qui est décisive, mais l'intoxication chronique de la circulation des substances, et celle-ci ne peut pas être prouvée par des méthodes d'expérimentation animale. Par ailleurs, des scientifiques de partout ont exprimé leurs doutes quant la validité du test de toxicité LD-50 ; . Avec les examens expérimentaux les plus complets, il n'est pas possible de prouver avec une sécurité absolue l'innocuité d'une substance quelconque. La décision en faveur de l'utilisation d'un complément alimentaire ou d'un pesticide implique donc toujours un risque. En d'autres termes, il est tout simplement impossible de prouver l'absence de toxicité chronique. Le résultat négatif de l'expérience sur animaux n'est pas une preuve de l'absence de toxicité d'une substance. La preuve de l'absence de toxique prouve uniquement que le toxique n'est plus présent en quantité décelable. L'addition et l'interaction de toutes les valeurs seuils légalement approuvées ont conduit un potentiel de danger et de dommages qui n'est plus définissable, qui n'est plus contrôlable, qui n'est plus du tout explorable scientifiquement et dont les conséquences biologiques ne sont plus concevables. La science est d'avis uniforme qu'il n'existe pas pour un organisme biologique une si petite dose d'une substance chimique étrangère qu'elle ne provoque pas d'effet chez lui. Le toxicologue et expérimentateur.
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25 ; En 26 ; 05766097.9 22 ; 16.06.2005 84 ; AT BE 2005 021272 16.06.2005 ; WO 2006 009771 2006 ; 18.06.2004 US 580853 P 54 ; TESTSYSTEM FÜR EVOZIERTE POTENTIALE FÜR NEUROLOGISCHE ERKRANKUNGEN EVOKED RESPONSE TESTING SYSTEM FOR NEUROLOGICAL DISORDERS SYSTEME D'ESSAI A POTENTIEL EVOQUE POUR TROUBLES NEUROLOGIQUES 71 ; Neuronetrix, Inc., 2400 Mellwood Avenue, Louisville, KY 40206, US 72 ; FADEM, Kalford, C., Louisville, KY 40206, US 74 ; Cabinet Plasseraud, 52 rue de la Victoire, 75440 Paris Cedex 09, FR 51 ; A61B 5 04 11 ; 781 166 A2 * 25 ; En 05776546.3 22 ; 27.07.2005 84 ; AT BE 2005 026636 27.07.2005 et darvon.
1. ATAMAN, F, STRUIKMANS, H, POORTMANS, P, KIRKOVE, C, BUDACH, V, BARILLOT, I, PIERART, M., BARTELINK, H, FOURQUET, A, VAN DEN BOGAERT, W. Irradiation policy for the internal mammary chain in the EORTC trial 22922 10925. Amsterdam, the Netherlands. ESTRO 23. 24-10-2004. 2. ATAMAN, F, POORTMANS, P, GIRAUD, J, DAVIS, J, MAINGON, P., CONIL, M, VAN DEN BERGH, F, BOLLA, M. Quality Assurance in the EORTC trial 22991: the dummy run. Amsterdam The Netherlands. ESTRO 23. 24-10-2004. 3. ATAMAN, F, POORTMANS, P, VAN DEN BERGH, F, DAVIS, J, GIRAUD, J, MAINGON, P., BOLLA, M. Quality Assurance in the EORTC trial 22991: the individual case review. Amsterdam The Netherlands. ESTRO 23. 24-10-2004. 4. BARILLOT, I, PEIGNAUX, K, TRUC, G, BRENIER, J, MAINGON, P. Rectum and bladder doses defined from CT-assisted planning in PDR brachytherapy: comparison with ICRU reference doses. Amsterdam - The Netherlands. ESTRO 23. 24-10-2004. 5. BARILLOT, I. IMRT for gynecological cancers. Centre Georges-François LECLERC. IMRT School. 30-6-2004. 6. BASELGA, J., FUMOLEAU, P., GIL, M., COLOMER, R. Phase II, 3-arm study of CCI-779 in combination with letrozole in post-menopausal women with locally advanced or metastatic breast cancer: preliminary results. ASCO 2004. 7. BOICHOT, C., BERRIOLO, A., FLEURY, G., MOFID, D., TOUBEAU, M., TOUZERY, C., RIEDINGER, J. M., BRUNOTTE, F. Intérêt de la lymphoscintigraphie dynamique pour l'identification du ganglion sentinelle dans le cancer du sein : propos de 182 cas. Québec. 42ème colloque de Médecine Nucléaire. 30 septembre - 7 octobre 2004. 8. BOICHOT, C., BERRIELO-RIEDINGER, A., FAVIER, L., GELLY, M., FLEURY, G., MOFID, D., BENOIT, L., FUMOLEAU, P., BRUNOTTE, F. Dans le cancer du sein, la découverte d'une micrométastase dans le ganglion sentinelle justifie-t-elle de compléter le curage ganglionnaire. Québec. 42ème colloque de Médecine Nucléaire. 30 septembre - 7octobre 2004. 9. BONNER, J A, HARARI, M, GIRALT, J, AZARNIA, N, COHEN, R B, ET AL . Maingon, P. ; Cetuximab prolongs survival in patients with locoregionally advanced squamous cell carcinoma of head and neck: A phase III study of highdose radiation therapy with or without cetuximab. 2004. University of Alabama, Birmingham, AL - USA. ASCO. 8-6-2004. 10. BOSSET, J. F., CALAIS, G., MINEUR, L, MAINGON, P., RADOSEVIC-JELIC, L, DABAN, A., BARDET, E., BENY, A, COLLETTE, L, BRIFFAUX, A. L'addition d'une chimiothérapie la radiothérapie préopératoire RT préop. ; des cancers rectaux augmente-t-elle la réponse tumorale ? Résultats de l'étude EORTC 22921. Cancer Radiother. 8 Suppl. 1 ; : S137. Palais des Congrès - Paris. 15è congrès national de la Société française de radiothérapie oncologique. 3-11-2004. 11. CREHANGE, G, BOSSET, M, LORCHEL, F, CHAIGNEAU, L, PUYRAVEAU, M, MERCIER, M, MAINGON, P., BOSSET, J. F. Tumor volume as predictive determinant on survival in esophageal cancer treated with chemoradiotherapy. Amsterdam - The Netherlands. ESTRO 23. 24-10-2004.
19. 1. Management of peripheral arterial disease PAD ; . TransAtlantic Inter-Society Consensus TASC ; . Eur J Vasc Endovasc Surg. 2000 ; 19 : 144-243. 2. Smith SC Jr, Dove JT, Jacobs AK, Kennedy JW, Kerejiakes D, Kern MJ et al. ACC AHA guidelines for percutaneous coronary interventionexecutive summary : a report of the American Co llege of Cardiology American Heart Association task force on practical guidelines Circulation 2001; 103 : 3019-41. 3. Parodi JC, Palmaz J, Barone HC. Transfemoral intraluminal graft implantation in abdominal aortic aneurysms. Ann Vasc Surg 1991; 5: 491-9. Buth J, Van Marrewijk CJ, Harris PL, Hop WCL, Riambau V, Laheij JF. Outcome of endovascular abdominal aortic aneurysm repair in patients with conditions considered unfit for an open procedure : a report on the Eurostar experience. J Vasc Surg 2002; 35: 211-21. May, J, White GH, Yu W, Ly CN, Waugh R, Stephen MS, Aruchelvam M, Harris JP. Concurrent comparison of endoluminal versus open repair in the treatment of abdominal aortic aneurysms : analysis of 303 patients by life table method. J Vasc Surg 1998; 27: 213-21. Veith FT, Amor M, Ohki T, Beebe HG, Bell PR, Bolia A, et al. Current status of carotid bifurcation angioplasty and stenting based on a consensus of opinion leaders. J Vasc Surg 2001; 33: S111116. 7. Wholey MH, Wholey M, Mathias K, Roubin GS, Diethrich EB, Henry M et al. Global experience in cervical carotid artery stent placement. Catheter Cardiovasc Interv 2000; 50: 160-7. Golledge J, Mitchell A, Greenhalgh RM, Davies AH. Systematic comparison of the early outcome of angioplasty and endarterectomy for symptomatic carotid artery disease. Stroke 2000; 31: 143943. Naylor AR, Mehta Z, Rothwell PM, Bell PRF. Carotid artery disease and stroke during coronary artery bypass: a critical review of the literature. Eur J Vasc Endovasc Surg 2002; 23: 283-94. Ricci M, Karamanoukian HL, Abraham R, Von Fricken K, D'ancona G, Choi S, et al. Stroke in octogenarians undergoing coronary artery surgery with and without cardiopulmonary bypass. Ann Thorac Surg 2000; 69: 1471-5. Shawl F, Kadro W, Domanski MJ et al. Safety and efficacy of elective carotid artery stenting in high risk patients. J Coll Cardiol 2000; 35: 1721-8. Hertzer NR, Beven EG, Young JR et al. Coronary artery disease in peripheral vascular patients : a classification of 1000 coronary angiograms and results of surgical management. Ann Surg 1984; 199: 223-33. Sbarigia E, DarioVizza C, Antonini M, Speziale F, Maritti M, et al. Locoregional versus general anesthesia in carotid surgery : is there an impact an perioperative myocardial ischemia ? Results of a prospective monocentric randomized trial. J Vasc Surg 1999; 30: 131-8. Rockman CB, Riles TS, Gold M, Lamparello PJ, Giango la G, et al. A comparison of regional and general anesthesia in patients et le deltasone.
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Art. 6. 1er. En vue d'obtenir et de conserver l'agrément, l'association doit, en termes généraux, avoir pour but social la contribution au développement régional socio-économique dans une zone géographique délimitée qui fait partie de la Flandre, en organisant et en soutenant notamment un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région, en abrégé CSER, tels que visés l'article 12, et un ou plusieurs comités de concertation socio-économiques régionaux, en abrégé COREG, tels que visés l'article 18, dont, conformément aux dispositions du présent décret et de ses arrêtés d'exécution, le Partenariat régional agréé constitue la forme juridique coordinatrice. 2. En vue d'obtenir et de conserver l'agrément, l'association doit notamment avoir pour but social les tàches et missions suivantes : 1 organiser l'encadrement administratif, du personnel et logistique d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux créés au sein de celle-ci; 2 effectuer des études sur la demande d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux créés au sein de celle-ci; 3 collecter, traiter et étudier des données socio-économiques l'intérieur de et concernant la Région dans laquelle le partenariat régional est actif sur la demande d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux créés au sein de celle-ci; 4 assurer, du chef d'un ou plusieurs accords ou protocoles de coopération, l'échange de données et la coopération dans d'autres domaines avec d'autres Partenariats régionaux agréés et avec un ou plusieurs niveaux administratifs; 5 organiser, sur la demande d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux créés au sein de celle-ci, la concertation entre les autorités et les institutions qui, l'intérieur de la Région où le partenariat régional est actif, sont compétentes pour le développement socio-économique; 6 prendre toutes les initiatives et passer les actes juridiques nécessaires cet effet en vue de la spécification juridique des projets d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux actifs au sein du partenariat régional; 7 conformément aux règles et coutumes du droit des associations, accomplir des tàches auxiliaires et passer des actes juridiques auxiliaires qui sont nécessaires pour ou qui contribuent la réalisation des tàches et missions mentionnées aux points 1 6 inclus; 8 prendre, sur la demande d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux créés au sein de celle-ci, toutes les initiatives et passer les actes nécessaires cet effet en vue du soutien de la mission, de la constitution d'une vision et de l'exécution des tàches d'un ou plusieurs Conseils socio-économiques de la Région et d'un ou plusieurs Comités de concertation socio-économiques régionaux actifs au sein du partenariat régional; 3. Par arrêté du Gouvernement flamand, la liste des tàches et missions visées aux deuxième paragraphe peut être concrétisée et ou précisée. 4. Dans cet arrêté, le Gouvernement flamand qui prend une décision telle que visée au troisième paragraphe, peut fixer le délai dans lequel les Partenariats régionaux agréés doivent, le cas échéant, avoir procédé, en vue du maintien de l'agrément, l'adaptation de la description de leurs buts sociaux statutaires respectifs. Le Gouvernement flamand peut, dans l'arrêté visé au premier alinéa, également prendre des mesures ultérieures concernant la facon dont les Partenariats régionaux agréés doivent donner suite un tel arrêté et concernant une éventuelle communication au Gouvernement flamand. Art. 7. 1er. Eu égard la structure socio-économique de la Région, le partenariat régional motive sa demande d'agrément, en mentionnant et en commentant la contribution au développement de la Région, dans le domaine économique et de l'emploi, envisagée par le partenariat régional. 2. En vue d'obtenir et de conserver l'agrément, le partenariat régional doit prouver qu'il disposera des moyens de fonctionnement nécessaires, d'une organisation administrative et logistique adéquate et du personnel nécessaire pour l'accomplissement de l'objectif social visé l'article 6 et des tàches et missions y comprises. 3. En vue d'obtenir et de conserver l'agrément, chaque partenariat régional agréé règle les rapports avec son personnel conformément aux dispositions de l'article 33 et ses arrêtés d'exécution. Art. 8. En vue d'obtenir et de conserver l'agrément, les statuts du Partenariat régional agréé doivent comprendre les dispositions suivantes : 1 il doit être stipulé que tous les membres visés au premier paragraphe de l'article 5 ont droit de vote au sein de l'assemblée générale de l'association; 2 il doit être stipulé que le conseil d'administration est composé, de facon tripartite, d'une représentation des trois fractions présentes dans l'association, savoir a ; les organisations des employeurs, des classes moyennes et de l'agriculture représentées au sein du SERV, b ; les organisations des travailleurs représentées au sein du SERV et c ; les deux ou plusieurs communes visées au point 2 du premier paragraphe de l'article 5 et la province visée au point 3 du premier paragraphe de l'article 5, étant entendu qu'au moins un et au maximum trois membres est, respectivement sont, désigné s ; sur la proposition des organisations représentatives précitées des employeurs, des classes moyennes et de l'agriculture, au moins un et au maximum trois membres sur la proposition des organisations des travailleurs représentatives précitées et au moins un et au maximum six membres sur la proposition des communes et de la province précitées; 3 il doit être stipulé que, d'une part, le conseil d'administration de l'association ne peut délibérer et décider que si un quorum est atteint d'au moins la moitié des membres du conseil d'administration et d'au moins un membre de chacune des trois fractions visées au point 2, et que d'autre part, les décisions du conseil d'administration doivent être prises le plus possible sur la base d'un consensus entres les membres présents ou représentés d'une réunion; au cas où un tel consensus ne pourrait pas être atteint, il doit être prévu que les décisions du conseil d'administration seront prises pour autant que celles-ci sont prises la majorité des voix des membres présents ou représentés de chaque fraction. Si une majorité n'est pas atteinte non plus dans chaque fraction, le conseil d'administration prend la décision la majorité simple pendant la réunion suivante de celui-ci; 4 il doit être stipulé que, d'une part, l'assemblée générale des membres de l'association ne peut délibérer et décider que si un quorum est atteint d'au moins la moitié des membres de l'association et d'au moins un membre de chacune des trois fractions visées au point 2, et que d'autre part, les décisions de l'assemblée générale doivent être prises le plus possible sur la base d'un consensus entres les membres présents ou représentés; au cas où un tel consensus ne pourrait pas être atteint, il doit être prévu que les décisions de l'assemblée générale seront prises pour autant que celles-ci sont et acheter du desmopressin en ligne.
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